Direction générale de la santé. Elle fait partie du [ministère de la Santé->mot 950] et comporte 5 sous-directions : santé des populations, système de santé et de la qualité des soins, veille sanitaire, pharmacie, professions de santé. Une division est chargée de la lutte contre le [sida->mot 393]. Elle est chargée de développer la politique de santé publique.

Voir [mission sida->mot 719].

03 03, 2003

Dans la guerre contre le sida, la bataille du Fémidom doit se gagner en 2003

Par |2023-11-24T16:17:11+01:00lundi 3 mars 2003|Catégories : Archives|Mots-clés : , , , |

Depuis 2001, la prévention des femmes est sensée être une priorité pour la Direction générale de la santé (DGS). Pourtant dans le trop faible dispositif proposé, il ne reste plus aujourd'hui que des campagnes de promotion du préservatif féminin. Mais ici aussi, l'actuel gouvernement a décidé de faire des économies, témoignant ainsi de son peu d'intérêt pour les femmes et le sida.

23 01, 2003

Prévention : où en est la DGS

Par |2023-11-24T16:17:14+01:00jeudi 23 janvier 2003|Catégories : Archives|Mots-clés : , , , |

Une campagne plutôt bien fichue, ciblée, et qui passe sur des médias grand public à des heures décentes. C'est le résultat du travail de la DGS et de l'INPES, quand ils écoutent les associations de lutte contre le sida. Où en est la prévention au niveau de l'Etat ? Réponse.

01 12, 2000

2cc de vie en moins

Par |2023-11-24T16:18:06+01:00vendredi 1 décembre 2000|Catégories : Archives|Mots-clés : , , , , |

Le 24 février 2000, la Direction générale de la santé (DGS) envoyait à tous les responsables de Programme d'Echanges de Seringues (P.E.S.) une note concernant les “ conséquences pour les usagers de drogues par voie intraveineuse (UDVI) de la suppression des seringues graduées à 40 unités à compter du 30 mars 2000 ”.

01 03, 2000

Ostéoporose, Ostéonécrose : l’enquête d’Act Up-Paris

Par |2023-11-24T16:18:16+01:00mercredi 1 mars 2000|Catégories : Archives|Mots-clés : , , , |

Aujourd'hui, la panoplie des effets secondaires dus à la prise d'antirétroviraux qui affectent les malades du sida, s'élargit. Aux troubles du métabolisme des graisses (lipodystrophie, lipoatrophie, etc.), à la toxicité mitochondriale, aux neuropathies périphériques, aux troubles du système nerveux central, s'ajoutent des maladies des os : ostéoporose, ostéonécrose.

01 02, 2000

Les associations sont lasses d’attendre la campagne de la DGS sur les Hépatites B et C

Par |2023-11-24T16:18:18+01:00mardi 1 février 2000|Catégories : Archives|Mots-clés : , , , , , , |

Les 18 et 19 janvier 2000 avaient lieu à Sida Info Service deux journées de formation sur les hépatites et la coinfection par les virus du sida (VIH) et de l'hépatite B (VHB) ou C (VHC). Cette formation gratuite était organisée à l'attention des associations par le Kiosque Info Sida. Le mardi 18 janvier était consacré à l' « histoire naturelle des hépatites », avec le Dr St Hilaire, hépatologue à l'hôpital Foch (qui intervenait sur l'hépatite B et la coinfection VIH-VHB) ; le Dr Zylberberg, hépatologue à l'hôpital Necker (hépatite C et coinfection VIH-VHC) ; et le Dr Derouineau, du Centre de Dépistage Anonyme et Gratuit (CDAG) du Figuier (dépistage des hépatites). Le mercredi 19 janvier portait sur les problèmes de « prise en charge spécifique » posés par la coinfection, avec le Dr Sananes, de l'ECIMUD de l'hôpital Bichât (prise en charge des toxicomanes et substitution) ; Sylvie Aubague et Pierre Cano, de l'Association Nationale de Prévention de l'Alcoolisme ; Etienne Mater, de l'association ASUD/ Auto-Support Usagers de Drogues (sur la réduction des risques) ; et Gérald Sanchez, d'Act Up-Paris (pour un premier de bilan concernant la coinfection VIH-VHC et l'urgence de la prise en charge des personnes doublement infectées). Au vu du succès de cette première édition, l'organisation d'une nouvelle formation a été envisagée pour le mois de mai, conçue sur le même modèle.

01 07, 1999

Edito

Par |2023-11-24T16:18:25+01:00jeudi 1 juillet 1999|Catégories : Archives|Mots-clés : , , , , , , |

En mars dernier, le Directeur général de la Santé, annonce à Bernard Kouchner qu'il démissionnera au cours du mois de mai. Joël Ménard oublie sans doute que, pour le Secrétaire d'Etat à la Santé, une parole n'engage à rien. Sans doute n'est-il pas pris au sérieux : quand il jette effectivement l'éponge en mai, nul n'est prévu pour le remplacer. Deux mois plus tard, son poste est encore vacant ; tous nos interlocuteurs à la DGS ou au ministère affectent un air alternativement mystérieux, hilare ou désolé quand on s'inquiète du nom du futur Directeur de la Santé.

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