Du grec {karkinos} : crabe. [Tumeur->mot521] liée à la prolifération anarchique et indéfinie d’une lignée cellulaire avec pour conséquence la destruction du [tissu-> mot1595] originel et l’extension locale puis généralisée ([métastases->mot 2520]) de la tumeur.

11 02, 2013

Cancer anal & VIH

Par |2023-11-24T16:12:20+01:00lundi 11 février 2013|Catégories : Archives|Mots-clés : , , |

L’infection par le VIH augmente le risque de développer un cancer anal. Ce risque par rapport à la population générale est multiplié par 24 pour les femmes et 32 pour les hommes – par 52 pour les hommes ayant des relations sexuelles avec d’autres hommes. Par ailleurs, alors que certains cancers, comme le sarcome de Kaposi, ont vu leur nombre diminuer avec l’arrivée des trithérapies antirétrovirales, le nombre de nouveaux cas de cancer anal n’a pas chuté. Deux publications récentes sur le cancer anal précisent la situation chez les personnes séropositives en France et aux Etats-Unis. Voyons plus en détail ce que disent les chiffres, notamment entre hommes et femmes.

20 11, 2012

Actu des traitements

Par |2023-11-24T16:12:26+01:00mardi 20 novembre 2012|Catégories : Archives|Mots-clés : , , , , , , , |

Cancer : antirétroviraux à la rescousse Le nelfinavir (Viracept®) est un inhibiteur de protéase utilisé contre le VIH qui serait actif dans le traitement du cancer du sein au même dosage. Utilisé dans des essais cliniques comme agent de chimiothérapie ou radiosensibilisant dans le traitement du cancer, il a inhibé la croissance de certains types de cancers. [...]

16 11, 2012

Les lésions anales associées à HPV progressent moins vers un cancer que les lésions du col de l’utérus.

Par |2023-11-24T16:12:29+01:00vendredi 16 novembre 2012|Catégories : Archives|Mots-clés : , , |

Une analyse australienne indique que les hommes qui ont des rapports sexuels avec des hommes présentent un risque élevé de lésions anales précancéreuses associées au papillomavirus humain (HPV) mais ces lésions progressent moins vers un cancer anal que dans le cancer du col de l'utérus pour les femmes. Les vaccins anti-HPV qui protègent les jeunes filles [...]

31 10, 2012

Lettre ouverte à Madame la ministre des affaires sociales et de la santé

Par |2023-11-24T16:12:31+01:00mercredi 31 octobre 2012|Catégories : Archives|Mots-clés : , , , , , , , , |

Diagnostiqué séropositif au VIH en 1986, je suis aujourd’hui âgé de 84 ans.
Au VIH s’ajoutent maintenant les pathologies liées aux effets indésirables des traitements, et les problèmes liés au vieillissement. J’ai eu une toxoplasmose en 1996 et je souffre aujourd’hui de plusieurs pathologies : spondylarthrite ankylosante, cancers, hypothyroïdie, hypertension, anémie… Mon état de santé nécessite donc une prise en charge pluridisciplinaire et des aménagements quotidiens, dus au fait que j’ai notamment perdu ma mobilité suite à une fracture du col du fémur qui a été suivie d’une infection à staphylocoque doré lors de la pose d’une prothèse.

01 03, 2011

Cancer & VIH : l’inclusion dans les essais en question

Par |2023-11-24T16:13:13+01:00mardi 1 mars 2011|Catégories : Archives|Mots-clés : , , , , , |

Avec l’arrivée des antirétroviraux en combinaison, notre espérance de vie en tant séropositifVEs s’est rapprochée de la normale. Pour nous cependant, le risque de développer un cancer reste quasiment toujours supérieur à celui de la population générale, qu’il s’agisse de cancers classant sida ou non. Par ailleurs, de nouveaux traitements anticancéreux se démarquant de la chimiothérapie classique sont apparus ces dernières années, les thérapies ciblées. Comme dans d’autres situations combinant plusieurs pathologies – la co-infection VIH et hépatite, par exemple – les essais cliniques qui les évaluent ne permettent pas, en général, le recrutement d’emblée de personnes séropositives. Dans ce contexte, tout est-il vraiment mis en œuvre pour une prise en charge optimale des séropositifVEs développant un cancer ?

01 10, 2010

Lymphomes du futur

Par |2023-11-24T16:13:24+01:00vendredi 1 octobre 2010|Catégories : Archives|Mots-clés : , , |

L’infection par le VIH se traduit par un risque accru de développer certains cancers, tout particulièrement des lymphomes. Des travaux récents pointent vers une meilleure compréhension des mécanismes sous-jacents où les macrophages joueraient un rôle-clé. Un pas en avant pour développer un outil diagnostique, voire un traitement ?

31 12, 2006

Le Vaccin HPV

Par |2023-11-24T16:15:26+01:00dimanche 31 décembre 2006|Catégories : Archives|Mots-clés : , , , , , |

Les infections à HPV génitaux sont contractées rapidement après l'entrée dans la vie sexuelle, mais ce n'est pas systématique. Entre 50 et 75 % des jeunes femmes (15-44 ans) sont ou ont été porteuses d'une infection génitale à HPV. Comme du point de vue épidémiologique, la majorité des cancers à HPV sont du type cancer du col de l'utérus, il est apparu logique aux développeurs de vouloir cibler en priorité les femmes et, du fait du mode et du moment d'infection, plus particulièrement les adolescentes et préadolescentes pour une vaccination anti-HPV.

31 12, 2006

Cancers HPV

Par |2023-11-24T16:15:26+01:00dimanche 31 décembre 2006|Catégories : Archives|Mots-clés : , , , , |

Le Gardasil® est un vaccin constitué d'une partie de l'enveloppe de certains virus HPV (papillomavirus humains ou Human PapillomaVirus, en anglais). Il est destiné à prévenir le cancer du col de l'utérus qui est associé à des infections par ces virus transmis majoritairement par voie sexuelle. Les essais cliniques ont été réalisés chez des jeunes filles (et des jeunes garçons) de 9 à 15 ans et des femmes de 16 à 26 ans qui pourront se voir prochainement prescrire ce vaccin. Ce vaccin nous semble intéressant pour tout séropositif qui présentent des spécificités par rapport à la population générale en termes d'infection aux HPV et d'émergence de cancers associés.

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