01 05, 2009

Pour en savoir plus

Par |2023-11-24T16:14:22+01:00vendredi 1 mai 2009|Catégories : Archives|Mots-clés : , , |

Les connaissances liées à l’expression des gènes ne sont pas faciles à concevoir tant elles sont en perpétuelle évolution. Prenons le temps de détailler certains concepts afin de permettre d’approfondir un sujet ardu mais accessible en échange de quelques efforts.

01 05, 2009

VIH, HDAC et acide valproïque

Par |2023-11-24T16:14:22+01:00vendredi 1 mai 2009|Catégories : Archives|Mots-clés : , , , |

Parce que le VIH est capable de rester tapi dans certaines cellules sans se reproduire et ainsi d’échapper aux défenses immunitaires et aux attaques des médicaments antirétroviraux, il constitue ce que l’on appelle des réservoirs. Ceux-ci sont considérés comme responsables de la recrudescence rapide de la multiplication du virus après un arrêt de traitement antirétroviral qui était pourtant capable de maintenir la charge virale dans le sang en dessous du seuil de détection. Afin de lutter contre ces réservoirs, il est important de connaître les mécanismes qui permettent au virus de rester ainsi caché dans une cellule.

01 03, 2007

ANRS EP 39 : pour aller plus loin

Par |2023-11-24T16:15:20+01:00jeudi 1 mars 2007|Catégories : Archives|Mots-clés : , , , |

Nous avons déjà évoqué l'acide valproïque à deux reprises. Les premiers résultats américains publiés en 2005 sur un faible effectif de personnes sous multithérapies étaient prometteurs. L'administration d'acide valproïque avait conduit à une réduction moyenne de 75 % des lymphocytes CD4 mémoire dormants infectés par le virus chez 3 personnes sur 4 évaluées. Dans la mesure où un antirétroviral additionnel (enfuvirtide ou Fuzéon®) avait été ajouté pour empêcher l'entrée des virions activés par l'acide valproïque, l'ambiguïté demeurait pour déterminer si l'effet était dû véritablement à l'acide valproïque seul.

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