Edito
En mars dernier, le Directeur général de la Santé, annonce à Bernard Kouchner qu'il démissionnera au cours du mois de mai. Joël Ménard oublie sans doute que, pour le Secrétaire d'Etat à la Santé, une parole n'engage à rien. Sans doute n'est-il pas pris au sérieux : quand il jette effectivement l'éponge en mai, nul n'est prévu pour le remplacer. Deux mois plus tard, son poste est encore vacant ; tous nos interlocuteurs à la DGS ou au ministère affectent un air alternativement mystérieux, hilare ou désolé quand on s'inquiète du nom du futur Directeur de la Santé.