[Antirétroviral-> mot370], [analogue non nucléosidique inhibiteur de la transcriptase inverse->mot1570] du [VIH->mot445]. Il est commercialisé sous le nom de [Viramune®-> mot681].

01 10, 2011

actu des traitements

Par |2023-11-24T16:12:57+01:00samedi 1 octobre 2011|Catégories : Archives|Mots-clés : , , , , , |

AMM américaine pour Complera® L'agence du médicament américaine a accordé une autorisation de mise sur le marché pour Complera® pour les personnes naïves de traitement. Ce nouveau médicament se compose d'emtricitabine + ténofovir (Truvada®) et de rilpivirine (Edurant®). Il sera prescrit en une prise par jour au moment des repas. L'agence européenne du médicament devrait se [...]

01 10, 2011

rilpivirine

Par |2023-11-24T16:12:57+01:00samedi 1 octobre 2011|Catégories : Archives|Mots-clés : , , , , , , , , , , , , , , , , , , |

Une nouvelle molécule (Edurant®) et un nouveau « 3-en-1 » (Complera®) sont sur le point d’être mis sur le marché (voir actu des traitements). Retour sur les deux essais cliniques de phase III [[Phase I : tolérance, toxicité, Phase II : efficacité, pharmacologie, Phase III : comparaison (avec placebo ou traitement de référence), Phase IV : effets indésirales, plus rares ou tardifs.]] qui ont évalué ce nouvel inhibiteur non nucléosidique de la transcriptase inverse (INNTI), la rilpivirine (Edurant®). Les deux essais ont montré que l’effet de cette molécule sur la charge virale chez des personnes naïves de traitement n’était pas inférieur à celui de l’efavirenz (Sustiva®), un autre INNTI couramment employé. Quoique présentant un profil de résistance moins favorable que l’efavirenz, le traitement à base de rilpivirine était mieux toléré et présentait un profil de sûreté d’emploi plus favorable.

01 10, 2011

ruptures d’antirétroviraux : des avancées ?

Par |2023-11-24T16:12:57+01:00samedi 1 octobre 2011|Catégories : Archives|Mots-clés : , , , , , , , , , , , , |

Depuis le printemps 2010, le TRT-5 recueille et analyse des témoignages de personnes qui se trouvent confrontées à des difficultés pour se faire délivrer leurs traitements en pharmacie de ville.

01 10, 2010

Actualité des traitements

Par |2023-11-24T16:13:24+01:00vendredi 1 octobre 2010|Catégories : Archives|Mots-clés : , , |

Bientôt un nouveau 3 en 1 Le laboratoire Gilead Sciences a soumis une demande d’autorisation de mise sur le marché (AMM) européen pour une nouvelle combinaison associant Truvada® (emtricitabine et ténofovir) à la rilpivirine (TMC 278 du laboratoire Tibotec). Cette association moléculaire est la deuxième (la première est Atripla®) qui permettra la prise d’une trithérapie en [...]

31 10, 2001

Edito

Par |2023-11-24T16:17:48+01:00mercredi 31 octobre 2001|Catégories : Archives|Mots-clés : , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , |

Après les chiffres internationaux qui annoncent une augmentation de la contamination du VIH dans les pays occidentaux due au relapse, après les chiffres attestant de l'explosion des cas de gonorrhées, voici que depuis plusieurs mois, les médecins et les centres de dépistage notent une nette recrudescence de la syphilis en France comme dans les pays voisins. [...]

01 03, 2001

Névirapine : inégalité hommes/femmes

Par |2023-11-24T16:18:01+01:00jeudi 1 mars 2001|Catégories : Archives|Mots-clés : , , , |

Depuis longtemps, la commission femmes d'Act Up-Paris réclame la mise en place systématique d'essais thérapeutiques permettant d'obtenir des résultats sexués. En effet, la majorité des traitements anti-VIH n'a été soumise à aucun test permettant d'étudier les différences entre hommes et femmes, notamment en ce qui concerne les réactions à ces médicaments ; les femmes représentent seulement 18 % des personnes intégrées dans les essais ; et l'on découvre toujours très tard les effets secondaires qui les affectent. C'est ce qui se passe actuellement avec la névirapine ou Viramune®, un antirétroviral très utilisé dans les multithérapies. De récentes observations indiquent que ce traitement provoque chez les femmes des éruptions cutanées beaucoup plus graves que chez les hommes, ainsi que des troubles sévères du foie.

01 03, 2000

Névirapine (Viramune®) : problèmes cutanés et hépatiques graves

Par |2023-11-24T16:18:15+01:00mercredi 1 mars 2000|Catégories : Archives|Mots-clés : , , , , |

Courant décembre, deux malades sont décédés des suites d'un rash cutané, provoquant des atteintes de la peau comparable à celles de grands brûlés. Toujours en décembre, un autre patient a développé une hépatite fulminante. Ces trois personnes prenaient de la Viramune®. Le 7 février dernier, l'AFSSaPS a averti les coordinateurs de CISIH et les responsables VIH des CRPV (Centres Régionaux de Pharmaco-Vigilance) des problèmes cutanés et hépatiques graves que peut provoquer la Viramune® (névirapine).

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