Aussi appelés effets secondaires ou «effets intolérables». Il s’agit de toute réaction nocive et non recherchée (éruptions, diarrhées, vertiges, fatigue, etc.) survenant de façon fortuite chez certaines personnes soumises à un traitement par un ou plusieurs médicaments à des fins thérapeutiques, prophylactiques ou diagnostiques (définition de l’[OMS-> mot93]). Au cours d’une [affection de longue durée->mot 1357], les effets indésirables doivent toujours être pris en compte afin de permettre aux personnes la meilleure [observance-> mot571] possible. En 2005, l’échelle de cotation de la gravité des événements indésirables chez l’adulte établie par l’[ANRS-> mot228] tend à devenir une référence internationale. Ils sont classés par grade de 1 à 4 :

– {{Grade 1, anomalie légère (effet sans conséquence) :}} gêne légère ou transitoire, sans limitation de l’activité quotidienne habituelle ; ne nécessite pas d’intervention médicale ou de traitement correcteur.

– {{Grade 2, anomalie modérée : }}limitation partielle de l’activité quotidienne habituelle ; une intervention médicale ou un traitement correcteur ne sont pas obligatoirement nécessaires.

– {{Grade 3, anomalie sévère :}} limitation de l’activité quotidienne habituelle ; nécessite une intervention médicale et un traitement correcteur, hospitalisation possible.

– {{Grade 4, menace vitale (pouvant entraîner le décès) : }}activité très limitée ; nécessite une intervention médicale ou un traitement correcteur, presque toujours en milieu hospitalier.

01 09, 2011

les lois, celles et ceux qui les font, et nous

Par |2023-11-24T16:12:59+01:00jeudi 1 septembre 2011|Catégories : Archives|Mots-clés : , , , , , , , , , , , , , , , , |

Les décrets, amendements et autres lois, discutées plus ou moins obscurément au Parlement, ont souvent des impacts décisifs sur nos vies. Tandis que le Sénat s’apprête à se renouveler (et potentiellement à basculer à gauche) et que les législatives approchent, retour sur quelques dossiers en cours et sur leurs conséquences en termes de lutte contre le sida. 

27 06, 2011

Les patientEs et les associations peuvent déclarer directement les effets indésirables des médicaments

Par |2023-11-24T16:13:01+01:00lundi 27 juin 2011|Catégories : Archives|Mots-clés : , , , |

Depuis le 15 juin 2011, il est possible grâce au formulaire joint de directement déclarer les effets indésirables au centre régional de pharmacovigilance (CRPV) dont vous dépendez géographiquement (coordonnées indiquées au dos du formulaire). Un guide d'utilisation (Afssaps), est aussi joint.

01 05, 2011

Pharmacovigilance, à la vie à la mort : les médicaments sous contrôle ?

Par |2023-11-24T16:13:06+01:00dimanche 1 mai 2011|Catégories : Archives|Mots-clés : , , , |

Avant d’être commercialisé, un médicament est d’abord évalué sur un échantillon de personnes dans le cadre d’essais cliniques pour mettre en évidence les effets indésirables et les risques encourus par les personnes. Tout ne pouvant être anticipé, en particulier ce qui concerne la prise au long cours, l’évaluation du médicament commercialisé se poursuit donc en une surveillance qu’on appelle pharmacovigilance après son obtention d’ATU ou d’AMM. Décodage de ce dispositif. Premier épisode.

01 10, 2009

Boire sans soif

Par |2023-11-24T16:14:12+01:00jeudi 1 octobre 2009|Catégories : Archives|Mots-clés : , |

Boire selon sa soif suffit pour être en bonne santé, après avoir fait du sport et transpirer beaucoup par exemple, mais sans plus ! Contrairement aux messages publicitaires ou plus « sobrement » appelé publi-communiqués, boire 1 litre et demi d’eau par jour n’est pas aussi bénéfique qu’on voudrait nous le faire croire.

13 11, 2007

Tout savoir sur les reins

Par |2023-11-24T16:15:02+01:00mardi 13 novembre 2007|Catégories : Archives|Mots-clés : , , |

L'infection VIH qui, reste en premier lieu une atteinte du système immunitaire, peut également altérer certains tissus, en particulier le cerveau, les muscles, les os et les vaisseaux sanguins mais aussi certains organes comme le foie, les poumons ou le cœur. Cette altération peut être directement le fait du VIH, celui d'un autre agent pathogène ou bien encore être due à une atteinte cancéreuse, puisqu'il est établi que cette infection favorise la survenue de certains cancers. Cependant, depuis l'avènement des multithérapies, on sait aussi que la prise au long cours d'antirétroviraux peut provoquer des atteintes des différents tissus et organes du corps humain. Parmi les organes ciblés par le VIH et/ou les antirétroviraux, le rein ne fait hélas pas exception : il semble alors utile de faire le point sur ce sujet.

01 05, 2007

Le dossier qui doit avancer : prise en charge des lipoatrophies sévères des fesses liées au VIH

Par |2023-11-24T16:15:15+01:00mardi 1 mai 2007|Catégories : Archives|Mots-clés : , , , |

A ce jour, l'Assurance Maladie n'assure pas officiellement la prise en charge d'interventions réparatrices/compensatrices des lipoatrophies atteignant les fesses. Or, les retentissements fonctionnels et psychiques de ces troubles sont aussi sévères, et parfois davantage, que ceux de la lipoatrophie du visage. Cet article est issu du TRT-5.

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