lettre aux organisateurRICEs d’Im/mune
C'est avec regret que nous nous désengageons d'un projet, Im/mune, qui nous semblait de prime abord digne d'intérêt.
C'est avec regret que nous nous désengageons d'un projet, Im/mune, qui nous semblait de prime abord digne d'intérêt.
Samedi 5 novembre 2011 se tiendra la « Manifestation nationale contre les violences faites aux femmes » à l’appel du Collectif National pour les Droits des Femmes (CNDF). Une dizaine de revendications sont posées, toutes plus louables les unes que les autres : mise en place de politiques spécifiques pour les femmes en danger, redéfinition du harcèlement sexuel, mise en place d’un Observatoire National des violences, etc. Sur la question du travail du sexe et de la prostitution, le CNDF exige « la mise en œuvre d’une politique de pénalisation du client de la prostitution »
Le 12 juillet dernier, Catherine Lemorton, député socialiste de Haute-Garonne, saisie par l'association de trans GEST, a posé au gouvernement une question sur le numéro de sécurité sociale des personnes trans. Question restée sans réponse depuis.
Plaisir d'offrir, joie de recevoir
Le TRT-5 a rédigé un document de positions proposant des amendements au projet de loi relatif à la sécurité du médicament. Ces amendements concernent le régime des Autorisations Temporaires d'Utilisation et l'inclusion dans les essais cliniques de populations négligées par la recherche (femmes, personnes âgées, enfants, trans, usagErEs de drogues, personnes co-infectées, etc.). Act Up-Paris publie l'introduction de ce document et vous invite à en lire l'intégralité sur le site du TRT-5. La date limite de dépôt des amendements au Sénat est aujourd'hui.
Vous trouverez ci-dessous le courrier qu'Act Up-Paris et Aides envoie aux sénateurRICEs de la nouvelle majorité. Nous y exprimons nos inquiétudes quant à l'avenir du dispositif des ATU (Autorisations temporaires d'utilisation) tel que la loi sur le médicament va le définir. Les sénateurRICEs risquent en effet de bloquer l'accès à des nouveautés thérapeutiques vitales pour les personnes vivant avec une pathologie grave.
Act Up-Paris envoie aujourd'hui à chaque sénateurRICE un questionnaire sur ses relations avec l'industrie pharmaceutique (voir document joint). Ce questionnaire, très simple, dont la réponse ne prend pas plus de 5 minutes, vise à éclairer les débats parlementaires sur la loi sur le médicament : nos éluEs sont-ils et elles indépédantEs des laboratoires pharmaceutiques ?
A l'occasion des discussions à l'Assemblée Nationale autour de la loi sur le médicament, Act Up-Paris avait envoyé un questionnaire aux députéEs sur leurs relations avec l'industrie pharmaceutiques. Au 18 octobre, une cinquantaine de députéEs avaient répondu. Ce sont majoritairement des éluEs n'ayant pas déclaré de relations avec les entreprise du médicament.
Une fois de plus, le gouvernement viole les droits des malades, et précarise nos vies. Act Up-Paris à déposé le 17 octobre un recours juridique auprès du au Conseil d’État.
Act Up-Paris a lancé début octobre une campagne de levée de fonds afin de réaffirmer ses revendications concernant l'égalité des droits entre homosexuelLEs et hétérosexuelLEs, dans le contexte de l’élection présidentielle française. En effet, en tant qu'association de lutte contre le SIDA et contre les discriminations, nous réaffirmons un des principes fondamentaux dans la lutte contre la pandémie : toutes les exclusions font le jeu du SIDA.