Femmes et VIH : comment faire tomber les masques ?
L'interassociatif "Femmes et VIH"* organise une nouvelle rencontre le 3 octobre 2009 autour du thème de l'invisibilité des femmes concernées par le VIH.
L'interassociatif "Femmes et VIH"* organise une nouvelle rencontre le 3 octobre 2009 autour du thème de l'invisibilité des femmes concernées par le VIH.
Boire selon sa soif suffit pour être en bonne santé, après avoir fait du sport et transpirer beaucoup par exemple, mais sans plus ! Contrairement aux messages publicitaires ou plus « sobrement » appelé publi-communiqués, boire 1 litre et demi d’eau par jour n’est pas aussi bénéfique qu’on voudrait nous le faire croire.
Le 3 octobre nous nous sommes retrouvéEs à 200 sous le dôme du siège du Parti Communiste pour assister à la rencontre organisée par l’interassociatif Femmes & VIH afin de réfléchir à la question de la visibilité des femmes séropositives.
Dans chaque numéro de Protocoles nous vous indiquons les rendez-vous de l’association ou du monde associatif ayant trait au domaine thérapeutique et médical.
Nous suivons ce dossier depuis quelques temps et comme pour le vaccin, nous sommes persuadés que seule l’union des talents des chercheurs au niveau international permettra un jour de faire de l’éradication autre chose qu’une piste de travail.
L’éradication est un vieux serpent de mer ; on y a cru, on en a beaucoup parlé, et ce sujet est tombé un peu dans l’oubli. Depuis quelques années des chercheurs s’y penchent à nouveau et l’éradication revient dans l’actualité.
Dans le précédent numéro de Protocoles nous avons procédé, à la suite de la réunion organisée par l’Association française des hémophiles et Action Traitements, à un état des lieux sur l’équation -hémophilie VIH traitement-
Alors que depuis 2003 l’Afssaps nous a privés des données nécessaires à la diffusion d’information sur les essais cliniques menés en France, elle se contente aujourd’hui de la mise en ligne d’un répertoire quasiment vide de contenu.
Etude pilote de phase IIb pour évaluer l’activité antivirale du GSK1349572 en association à un traitement antirétroviral chez les patients adultes infectés par le VIH-1 résistant au raltégravir.
Etude de phase II, randomisée, exploratoire, en ouvert, incluant une phase de pré-traitement de 2 semaines, pour évaluer la pharmacocinétique, la sécurité d’emploi, la tolérance et l’activité antivirale de l’étravirine en combinaison avec de l’atazanavir potentialisé par du ritonavir et un INTI chez des séropositifs pré-traités.